Bouquet de vers
Quand de larges tranches de temps m'apparaissent,
Je pose mon corps dans mon fauteuil douillet,
Comme un fauve sur sa proie qu'il dépèce,
Je dévore de formidables triolets,
Des épithalames troublant comme l'ivresse,
Et des acrostiches énonçant l'alphabet,
Des psaumes en latin pour lire la messe,
Et des vers hugolien en final bouquet.
Di niente !